Top Gear en Roumanie

Quel type de vin préférez-vous?

(vous pouvez sélecter 2 options, par exemple "vin blanche" et "vin demisec")

lundi 19 octobre 2009

Pub18 – Bière au Mètre et Gaieté Folle



J’ai toujours aimé les anglais. Je suis leur fan de ma naissance. J’ai regardé leurs films, écouté leurs musique et lu leurs livres. Je suis fasciné par tous ce qu’il a de liens avec leur culture. Tout, en exceptant le thé. Je n’aime pas du tout le thé noir que les anglais consomment avec du lait. Par contre, tous le reste m’émerveillent, le style provenant d’une certaine élégance. L’humour noir anglais me fait rire aux éclats –c’est génial.



J’ai toujours voulu expérimenter l’atmosphère originale de pub britannique. Ce sont des bars ou tous boivent des bières à la pression. Ils saluent, rient et se sentent bien. Ils sont des gens qui demandent encore car la nuit est longue. Dans ces types des clubs la vie est composée des sanglots.


J’ai découvert il y a peu de temps un club à Bucarest qui est semblable à ce type de pub anglais. Il s’agit de pub 18, situé dans l’arrondissement Regie, devant le P18. Cela veut dire dans le milieu de buveurs de bière, des hommes qui s’amusent seulement car il est Mercredi soir.


Ici on vient avec les amis. C’est une place favorable pour causer et faire des blagues. Donc, on vient accompagner par nos amis et après un mètre de bière on peut discuter légèrement sur Obama ou Ana de ton bureau, ou encore de Chivu et Freud ou bien de Simona Senzual et Jay Leno.


Et comme on consomme la bière mieux après quelque chose bon de manger, on peut choisir entre une salade immense et une pizza délicieuse, une portion de « mici » et une portion de saucisses. Personnellement je préfère Pizza Big Brother qui est bon et si on ajoute salami elle est excellente. Le sauce piquant est indispensable.


Une autre chose que j’aime ici sont les matchs. A cette occasion le bar est plein. On peut crier, jeter des invectives et acclamer.


Vous êtes curieux en ce qui concerne les prix, c’est normal. Je pourrais vous dire qu’ils ne sont pas très hauts, mais même accessibles ; vous pouvez voir par vous-mêmes ici sur leur site le menu .

A bientot, have fun !

Sabin Staicu

dimanche 18 octobre 2009

L’Addition



Une poulette nue entre dans un resto et demande à boire.
Le barman la regarde attentivement et la poulette lui dit :
-Pourquoi me regarde-tu comme ça, tu n’a jamais vu une femme nue ?
-Mais oui, mais je me demandais d’où tu va sortir l’argent pour payer…

samedi 17 octobre 2009

Le Club Fratelli et la Midinette



Ce Samedi soir j’ai été dans le club Fratelli. Il me semble « la chambre obscure de l’humanité », du Bucarest ! L’ombre noire de leur existence. De que je suis entré, j’ai eu le sentiment bizarre de marcher sur un territoire vaste, placé par hasard dans une halle ou les membres actuels d’une société secrète sans philosophie se rencontrent avec les ombres qui les hantent, les vampires de leur aspiration et les monstres qui vont s’occuper de leur embaument. Les seuls vivants de l’assemblée étaient les animateurs de la scène : une belle dressée en avant-garde, un mulâtre chantant. Le reste, une halle de zombies ! Je me suis demandé pour qui ils dansent et chantent ! Peut être pour le personnel du club.



Les serveurs portaient aux tables des zombies, d’un air amer et fatigué, de grandes bouteilles de champagne. Je n’avais pas de peur car il y avait de la musique, mais vous n’avez pas d’idée comme il est triste de voir le samedi soir tant d’hommes morts dans un club ! Si tu pense vraiment à ce qu’il y a devant tes yeux ça devient horror. Je suppose que la noirceur serve à camoufler l’affaire ! Parfait légitiment. Ce n’est pas humain de voir dans une lumière joyeux une masse compacte de zombies. Bon, je vais abandonner les descriptions plastiques pour passer aux descriptions concrètes ! Il y a pourtant quelque chose que je veux absolument spécifier ! Je n’ai jamais vu tant de femmes grandes dans la même place ! Terriblement grandes et crispées. Elles dansaient leurs pensées ailleurs, ayant de geste mécaniques, les mouvements appartenaient à un autre film, comme si elles demandaient notre aide (chose compréhensible, vu la place), leurs regards cherchaient d’un air étouffant, fébrile, fanatique, inquiétant, les tables réservées, les allées ou passaient les hommes, les portes de l’entrée, les directions ou les serveurs portaient la champagne.


Jamais dans ma vie je n’ai vu de femmes si crispées, si tourmentées, si inquiètes et ayant une expression si formelle ! C’est vraie, le travail avec le publique et la quête de l’or supposent une forte activité, un stress inimaginable, ça m’étonne qu’elles n’y cèdent pas. Mais si on tient compte qu’elles ne vivent que s’il n’ya a pas de lumière solaire, elles peuvent résister au stress humaine, nuit après nuit ! L’état bestial de tension et inquiétude était augmenté par les regards plein de la haine jetée aux consorts de sexe et de club. Un moment donné j’ai vu une femme de deux mètres, ses jambes semblaient de la dépasser ; elle portait des bottes rouges, les talons immenses, une robe noire courte, pris d’une ceinture. Elle avait de silicone dans les lèvres, les seines, moins dans les pommettes, des sourcils très longues, beaucoup de chevaux noir et bien sur la pochette Hermes. Lorsqu’elle est apparue…le danger se fait manifester dans tous les cœurs du sexe sensible. Une sensation de peur, la haine et le danger flottaient matériellement par tout. Comme sur l’écran ! On ne sait pas pourquoi la peur va nous prendre, mais on sait qu’on a déjà peur.


La femme cybernétique est passée par la peur comme un couteau. Les hommes flairaient, cherchaient, ils avaient perdu la raison et tenaient les glaces de champagne toujours dans la même position d’aide. La femme cybernétique a dépassé la stupeur des hommes et des femmes en passant sur ses talons, portant sa statue. J’ai eu de la pitié tant pour les femmes que pour les hommes ! La femme cybernétique avec les bottes rouges est disparue dans les ténèbres et les choses ont revenu au normal : inquiétude, stress, regards hantées, fatiguées, tourmentées.

Veronica A. Cara

vendredi 16 octobre 2009

Appétit



Un mec entre dans un pub, portant une petite chatte sur son épaule ; il s’assit devant le bar et commande :
-Une bière pour mois et 20 steaks pour la chatte.
Le barman le regarde curieux et pourtant lui en serve. 30 minutes après, le mec encore :
-Une bière pour mois et 20 steaks pour l’oiseau.
-Monsieur, que vous êtes bizarre, lui dit le barman.
-Pas du tout ! Hier j’ai capturé le poisson d’or qui m’avait promis trois désirs si je mets en libérté.


Je lui ai demandé :
-premièrement : 1 milliard dollars dans la banque : évidement, il me les a donné,
-deuxièmes : un Mercedes dernier tipe-évidement, j’ai eu la voiture,
-troisièmes : une chatte cupide, mais évidement, il ne s’est pas rendu compte de l’allusion.

jeudi 15 octobre 2009

Le restaurant City Grill – Avançons pour la Soupe, Recule en cas de Guerre



City Grill – centre historique, le resto ou le temps s’arrête


Jazz / Dave Brubeck - Take Five


Si tu te promène dans le centre du Bucarest et tu n’a pas du tout faim, tu pourras aller sur la rue Lipscani jusqu’à Victoriei et entrer dans le City Grill. Car avant d’être servi par les garçons du resto, la faim pourrait te prendre. Mais la réception est réussie. La belle de l’entrée te salue allégrement, te conduit à la table et te donne l’impression que l’entier service est pareillement.

Tout faux ! N’entrez pas pourvu que vous ayez de temps à perdre, un portable à la portée ou que vous soyez narcoleptique afin de dormir un peu. Généralement, le premier plat arrive au bout d’une demi d’heure après votre commande, et les suivantes une demi d’heure après.

Disons que l’on pourrait l’expliquer en cas d’un plat préparé sur place ; mais s’il s’agit d’une soupe qui, théoriquement devrait être déjà préparée, et pourtant il faut attendre trop jusqu’à ce qu’elle arrive sur la table, ça est déjà absurde. Et ni même leur explication « on est occupés » ne marche pas. Le plus souvent il y a deux serveuses au minimum qui ne font que s’appuyer contre le mur de la cuisine ayant un air indifférent, comme si cela est leur principal bulot.


Mais ce qui sauve ce resto ce sont les plats. A mon humble avis, les soupes sont parmi les meilleurs de la ville ( je recommande chaleureusement la soupe de vache et celle d’os fumée, qui est délicieuse la plupart des cas, mais elle n’est pas toujours la même. Les salades sont décentes et celles préparées grillé sont presque parfaits.

Il est encore sauvé par la catégorie sociale « l’affamé pauvre qui accepte n’importe quoi et attend n’importe combien à la condition qu’il paie moins » ; cette catégorie est composée de corporatistes de la région qui viennent pour manger deux plats plus le dessert pour 19,99 lei. Malheureusement, à cause du service ralenti, ils ne peuvent que gouter un peu de la soupe, laisser l’argent et se retourner au boulot.


Mais votre meilleur ami y sera le vin de la maison. De bonne marché et décent, il couvre bien les périodes longues ‘entre les plats. Ou il vous tient de faim lorsque les plats n’arrivent guère, car les serveurs, souffrant probablement d’Alzheimere même si jeunes, oublient ta commande ou des banalités comme le dessert, qui pourtant va se trouver sur l’addition.

Donc, si vous n’êtes pas déranger d’insister d’avantage et si vous n’avez pas trop de faim, plus un oreiller à votre portée pour un petit somme pendant les plats, je vous recommande chaleureusement City Grill.

Radu Alexandru

Les Comptables et la Vie




Bourvil - Salade de fruits


Il y quelques jours j’ai remarqué quelque chose de très bizarre pendant que j’étais chez le resto « Chez Ginette » avec quelques copains. Tous les servers et les garçons avaient une petite cuillère dans leur poche de la chemise. Lorsqu’un serveur est venu me demander la commande, je l’ai questionné :

-Pourquoi vous avez tous cette petite cuillère ?

Et il m’a expliqué que Ginette avait demandé une consultation à Andersen consulting et quelques mois d’analyse après, ils avaient arrivé w la conclusion que la petite cuillère était la pièce de couvert qui tombait le plus souvent, à une fréquence de 3 cuillère par table/heure. Suivant cette analyse il ne faut plus courir a la cuisine pour apporter une autre petite cuillère. L’économie de rendement pour le temps de travail est estimée au 5,21%. L’indice de satisfaction du client est augmenté au 3,75%. Deux minutes plus tard j’ai laissé tomber ma cuillère et le garçon m’a donné immédiatement sa cuillère, en disant qu’il prendrait une autre. Bravo Andersen !
Mais, plus curieuse, les garçons avaient une petite ficelle qui sortait de leur braguettes. J’ai questionné le garçon quel était le rôle de cette ficelle, lorsqu’il nous a apporte l’addition.

-Vous avez correctement observé, m’a dit-il d’une voix basse, Andersen Consulting a remarqué aussi que nous pourrions gagner du temps aux toilettes. La ficelle est liée autour du pénis, et donc on peut le faire sortir sans le toucher et en conséquence sans nous laver plus les mains, fait que signifie une économie d’eau et le temps perdu aux toilettes baisse à environ 7,39%.

-Et après que vous l’avez fait sortir, comment est-ce que vous le mettez dedans sans le toucher ? – j’ai demandé.

-Eh bien, me dit-il à bas voix, je ne sais pas comment font les autres…mais je m’en serve de la petite cuillère...

mercredi 14 octobre 2009

Le restaurant Naser – Paradis de l’ail et Enfer pour l’alcool



Premièrement, bonjour, mes chers gourmands ! Je suis Lia. On me connaît comme la Renard. Et pas un renard quelconque, mais un renard profondément gourmand. Passionnée de goodies causant de rondeurs plus ou moins dangereuses. Passionnée par la cuisine comme soupe d’haricot avec de la viande fumée, chou à la Cluj ou ail en ragout. Mais en ce qui concerne mes talents de cuisine on verra plus tard.


Je une autre grande passion. Les pubs. De toute sorte, odeurs ou services. Mais de bonne qualité. Je vais commencer notre amitié par un conte concernant la plus colorée d’eux, ou je viens tous les soirs, comme chez une église. En fait, comme chez une mosquée. Car il s’agit d’un pub arabe. Plus exactement, syrien. Il s’appelle Naser et il se trouve dans la Piaţa Domenii (adresse exacte Str. Dumitru Zosima, 86). Un premier conseil : si vous désirez horripiler une fille de Dorobanţi, il faut l’y conduire. A la première vue, l’image n’est pas très douce. L’espace un peu étroite commence par une vitrine ou on perçoit de diverses viandes exposées. Ca veut dire qu’on peut commander pour le grillé de chez nous.

La deuxième chambre réunit les connaisseurs qui fument en parlant sur leur langue. En cas de nécessité, on peut faire place aussi pour les clients. La troisième chambre a 4 tables et un aspect malin. Les murs sont oranges, il y a des ornements…kitsch plutôt, mais c’est probablement a cause de mon inhabitude à voire des narguilés, des chaises incommodes ou bien des tables sans couvertures.


Je pense que l’aspect de cette place est un sorte de test, il ne faut pas que tout homme ait les friandises y présents. Car, une fois assis, on mange sans arrêt.

Les pains arabes et les cornichons sont aux frais de la maison. L’airan à la menthe est une nécessité. Il est un peu amer et salé, et son gout n’a aucune connexion avec le yaourt de danone.


Comme moi, mon mec et mon amie, nous avons des idées fixes, nous commençons toujours avec un baba ganoush. C’est un mélange magique des aubergines hachées, tomates, huile d’olives et jus de grenade. On le consomme avec de morceaux de pain arabe. Ensuite il y a toujours la salade fatush, avec de la salade verte, tomates, concombres, herbes, aile, huile d’olives, limons et chips faits de pain grillée.


Est-ce qu’il y a quelqu'un qui hésite lorsqu’il s’agit de mouton ? Ici il faut nous en passer. Mouton barbecue. A oignon grillée. Bonnnn…Les morceaux de viande se fondent dans la bouche.

Ces petits morceaux, marrons à la surface et roseaux dedans, t’obligent de voir la vie dans une autre perspective. S’il ne s’agissait pas d’un pub arabe, on pourrait combiner la viande avec un vin rouge sec, et la morte serait facile.


Mais si vous refuser le mouton, vous pouvez toujours essayer le poulet barbecue. On le serve avec des frites (pas ceux gélés) et de la chou à mayonnaise. Un autre choix est l’arais, un pain arabe rempli avec de la viande de bœuf et des épices. N’oubliez pas de consommer l’airan ou le thé pour assortir tous ces plats.

Justement quand on pense que l’estomac est rempli à refus, le pudding à limon- divine ou les morceaux de cataif ou baklava nous sont servis. Sans charge ! Les patrons de Naser sont de bons garçons. Et des sorcières en plus ! L’un des patrons, qui reste assis toute la journée en recevant les clients, n’hésite pas me regarder d’un air langoureuse, dépendant de la présence de mon copain.

Je ne peu pas parler trop sur les services, il y a deux extrêmes, tous les deux blondes. La première semble tres triste, sobre et absente (en fait, si tu regarde ses beaux yeux, tu remarque immédiatement le vide de son cerveau), l’autre tres exacte, attentive et sympa.

En conséquence, il y a trois personnes affamés qui mange 3 baba ganous, 3 fatush, 2 airan avec de la menthe, 2 jus, un mouton barbecue, un poulet et des frites pour 139 lei. Et il nous et tres difficile de partir.



En final quelques conseils. Premièrement, il faut faire abstraction de l’aspect, car il va vous amuser en final. Si vous avez remarqué tous les plats ont une chose en commune : beaucoup de l’ail. Essayer d’être accompagné par votre partenaire ou de l’éviter après, en cas qu’il y manque. Contez sur mois, vous allez puer à cause de l’ail par tous vos trous. Mais ca vaut la peine, car l’ail tue les microbes. Mesdames, il est recommandable de sourire aux patrons, ils aiment ça et vous vous sentirez flattées. Messieurs, faites-le vous aussi, car un ami arabe ne dommage jamais.

Illal Liqaa Maasalamah, çela veut dire à la prochaine fois et que la paix nous retrouve ensemble!


Vulpea Gurmandizda
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