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jeudi 1 octobre 2009

Jambon vs Poulpe



Du point de vue culinaire, j’ai des gouts très simples. Plus exactement, si j’ai faim, je mange presque n’importe quoi. Une petite exception, archivée au chapitre « choses sur moi que je ne comprends pas ». Je n’aime pas du tout les fruits de mer, mais absolument pas, et pourtant je la tendance de manger quelque fois des monstres aquatiques.


Je vous ai déjà raconté comment j’ai mangé ces grands moules-la. Et dégoutantes aussi. Ultérieurement j’ai appris que les «poulettes » étaient vivantes lorsqu’elles me furent servies. Et que les citrons devraient être pressés sur leur coiffure. Les spécialistes disent que dans cette manière l’animal sera tué, et justement après qu’il est noyé dans l’acide citrique, on peut l’avaler. Et pourtant moi, dans mon inconscience et ma méconnaissance de mangeur de jambon à oignon ou bien de paysan qui achète son Armani après avoir vu a la télé qu’il s’agit marque célèbre, moi j’ai apprécié seulement les couleurs citron et gris de coquille du plateau. J’ai pas pensé que les poulettes ne bougeaient car les moules ne bougent pas généralement dans leurs coquilles. Ou étaient-elles endormies ? Et elles se sont réveillées le moment ou le soussigné a mis sa fourchette dans leur cou. Il était trop tard, le choc les avait paralysées et elles sont arrivées dans ma ventre, d’où elles sont sortis par un tuyau qui les a conduit sous en forme un peu modifié dans la mer. Je suppose que celui-ci représente le circuit de la moule dans la nature. Il y a maintenant dans mon intérieur quelque chose comme quatre perles.


Mais en dépit de cette expérience, la nausée provoquée par les midinettes marines, que j’ai avalé pris de dégout seulement à cause de leur prix, ne m’a pas coupé l’envie pour des expérimentes. Et trois jours après je me trouve de nouveau le menu aux mains, en lisant avidement la section « plat de la mer ». Bon. Et voila ce qu’il disent la : « baby moule grillée, aux agneaux de je ne sais quoi, assaisonnée avec « prawn » (je n’ai pas idée de quoi il s’agit) et avec de la viande de quelque persillade. Bon. Intéressant. Pourquoi ne pas en essayer ?! Mes partenaires de table m’ont dit :’Ecoute, tu risque de ne rien manger encore une fois et ensuite tu va te plaindre toute au long de la journée… » Mais moi, comme je suis indépendant, décis, libre, courageux, j’ai répondu : « mais tais-toi, voila comme il semble bon, je vais tout dévorer ! ».


Dans quelques minutes mon commande est arrivée. Et il semblait la bouche de l’enfer. Plusieurs petits yeux me regardaient d’une manière concernée de l’assiette. De différents couleurs et formes. Des antennes diverses se dressaient vers les cieux. Et les tentacules. Ayant des ventouses. La zone était presque toute couverte par des petits pieds. Beaucoup de pieds. Et de petites queues. A ce moment-la je me suis pensé qu’il y avait plusieurs chances d’être la victime au lieu de manger toute cette collection de laideurs. Heureusement, la ménagerie avait été mieux grillées que Gheorghe Doja et elle ne pouvait plus crier. Je désirait mon jambon à oignon. Le jambon ne me fixait comme ça, et l’oignon n’avait pas de pieds.


Mais je n’y ai pas cédé. Je commencé la bataille. La grande provocation était le prawn qui en fait était une crevette immense. Rouge de nerves. Plus grand qu’un bébé de lapin. Laid à tuer. Hideuse. J’ai appris qu’il faut rompre la tête et la queue et d’en manger ce qui reste. « Eh bien, c’est ma plaisir de te couper la tête, fils de pute. ». Et j’ai lui a tordu la tête. Un son sec. Pac. Ensuite la queue. Un son plus doux. Shplac. Quelque chose de blanc m’est restée dans les mains. Et, tout comme les enfants petits et idiots, je l’ai mis dans ma bouche. J’ai mangé un morceau. Elle était crue, je vous jure. Et un gout…Comme si le dauphin Flipper s’était chié dans ma bouche. Et bon. On finit avec le prawn. Et qu’est qu’il y a encore. Une carcasse avec des agneaux en spirale. Voyons. J’en ai coupé un morceau. Goût de caoutchouc bouillé dans urine de singe. Je suis complètement fou. J’ai avalé ayant des larmes dans mes yeux. Mais il faut continuer la bataille. Voila ! la baby moule. Si petit, une moule rose mais entière. Tête, petit corps, tentacules à ventouses. Car je suis homme j’ai regarde entre ses tentacules. Excusez-mois mais je crois avoir vu sa chatte. Ce n’était pas la bouche, car il n’avait pas de dents. Elle était trop jeune pour perdre les dents ou peut-être trop jeune pour en avoir. ..Pour éviter une complication et car elle ne m’avait pas dit a l’oreille « que tu bouffe ma chatte », j’ai me suis passé de la zone. Et j’ai sectionné avec mes dents les tentacules. J’ai senti le premier gout acceptable de cette assiette. Je les ai mâchées satisfait. Mais elles étaient insignifiantes.



Mes tripes se révoltaient à cause de la faim.
Il y avait encore la viande de je ne sait quoi, couvert de persil. Elle semblait bonne. Blanche, diaphane, sans moustaches, carcasse, dents ou yeux. J’ai pris avec confiance un morceau plus grand. J’ai la forcé dans ma bouche…et j’ai cru que j’aurais mourir. Sur place. Elle avait le goût du champ de bataille de Rovine couvert des héros morts il y avait déjà trois jours. Et ça puait la merde. J’ai voulu cracher. Mais ou ? J’étais à une taverne respectueuse près des gens élégants qui savouraient leurs bestioles. Et j’ai avalé. Oh, mon Dieu !!! Et je ne veux pas que les femmes me disent que quelques hommes inconscients leurs demandent d’avaler, car elles ne savent pas ce qu’elles disent. Si j’ai avalé ce cadavre, on peut avaler n’importe quoi. Vivant, mort ou paralysé. Sut le point de l’apoplexie j’ai demandé au serveur de me servir rapidement quelque chose pour faire disparaître le gout maléfique de ma bouche. Comme des pates. A l’ail. Mais vite, garçon, que je meurs ici, et tu va avoir des problèmes avec les autorités de santé.


J’ai avalé les pates comme si j’étais un naufragé qui n’avait pas mangé il y a plusieurs jours. Je savourais l’ail comme les dieux mangeaient autrefois d’ambroisie et buvaient du nectaire. Et je jurais que dans le futur j’aurais résisté aux toutes ces tentations si autodestructrices. Cependant j’ai composait dans ma pensé une ode pour l’honnête jambon et la mirabelle oignon.

Alex Donovici

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